Notre planète n'est pas au top de sa forme. Vous l'avez sans doute déjà entendu à maintes reprises dans l'actualité, notre situation n'est pas des plus réjouissantes. Ainsi, si nous avons connu un début d'année 2012 plutôt frais, les températures relevées depuis le mois d'avril se situent au-dessus des moyennes saisonnières. Selon des experts de l'agence spécialisée de l'ONU, "la température moyenne à la surface des terres et des océans a continué d'augmenter mois après mois". Et nous savons tous à quoi est due cette augmentation : à la hausse des émissions de gaz à effets de serre dans l'environnement.
Mais il y a plus grave : les années situées entre 2001 et 2011 font partie des plus chaudes jamais enregistrées. Et l'année 2012 ne risque pas de faire exception à la règle. En effet, si l'on se base sur les dix premiers mois de l'année 2012, on remarque que l'année 2012 se classe en 9e position des périodes les plus chaudes jamais enregistrées depuis le début des relevés (qui date de 1850).
Une des conséquence principale de cette augmentation de la température ? Une diminution de la banquise de l'Arctique. En effet, le 16 septembre, cette banquise a atteint son minimum saisonnier : 3,41 millions de km². Cette surface est la plus petite jamais enregistrée depuis le début des observations par satellite.
Du coup, il est grand temps que les gouvernements prennent les choses en main. Et même si le Sommet de Doha qui se tient actuellement au Qatar ne laisse pas à penser que de gros changements auront lieu prochainement, il faut que les particuliers se mettent en tête qu'il doivent changer leur manière de consommer. Et il y a plusieurs façons de faire :
- placer des panneaux photovoltaïques
- installer une pompe à chaleur
- ou encore s'habituer à mettre un pull de plus lorsqu'il fait froid plutôt que d'augmenter le chauffage.