4 ème opus d’une série a succès qu’on ne présente plus, ce numéro 4 à le mérite d’être comme ses prédécesseurs: drôle, tendre, amusant, souriant, pour les petits comme pour les plus grands.
Synopsis L’Âge de Glace 4 : la Dérive des Continents
La vie est dure: Pêche n’est plus une petite fille et Many à les plus grands maux à vouloir la protéger de tout et de rien. Mais la jeune fille entend bien séduire Ethan, le jeune mammouth le plus beau de tout ceux de son âge. Mais elle se fait intercepté par son père qui décide de la punir plutôt que d’essayer de la comprendre, Pêche s’exprime alors plus vite que la pensée : elle préférerait que Many ne soit pas son père.
Et au même moment, à cause de Scrat, les continents se disloquent et s’éloignent: alors que Many discute avec Ellie du comportement de Pêche, le sol se casse en deux et sépare Many, Sid et Diego du reste de leur famille. Mais Many est le mammouth le plus têtu de tout le règne animal: il remuera ciel et terre pour retrouver sa famille.
Un 4ème volet qui se renouvelle
On aurait pût se dire: ’Encore un? Non vraiment c’est de trop…’ et bien non ! C’est avec un plaisir ineffable que l’on retrouve toute la famille déjantée, et qui dans cet opus continue de s’agrandir avec des individus plus loufoques et déjantés les uns que les autres. On a pas le temps de s’ennuyer, puisque nous suivons deux histoires parallèles dans ce film, Many, Sid, sa grand-mère sénile fraîchement débarquée et Diego d’un côté, parcourant l’océan après une terrible tempête pour retrouver le continent, et Ellie, Pêche, et toute la tribu d’animaux qui essaient de se sauver d’une titanesque paroi/falaise qui continue d’engloutir leur place où ils vivent tous ensemble.
Pas le temps de s’ennuyer donc, avec à chaque fois lorsque nous passons d’un groupe à un autre une petite scène avec Scrat faisant des siennes pour trouver le paradis des glands (pas de mauvaise pensée s’il vous plaît) et à qui il arrive toujours les pires galères possibles.
Avis L’Âge de Glace 4 : la Dérive des Continents
En bref, un petit bout de bonheur à l’état brut, on rigole, on est à fond, avec cette famille qu’on connaît depuis si longtemps et qui est un petit peu comme la notre aussi. Ils nous font rire, nous occupent, cette personnification anachronique extrême est magistrale, et c’est d’autant plus bon qu’il ne s’agit ni d’un Disney/Pixar ou d’un DreamWorks, mais d’un BlueSky (qui je l’avoue pour ma part n’a rien fait d’exceptionnel en matière de film à part les ’Ice Age’).
Et même si on pourrait dire que quatre c’est de trop, j’ai personnellement seulement voulu dire en sortant ’à quand le prochain?’, car c’est toujours aussi bon les ’Ice Age’, c’est tout ce qu’on veut dans un film, c’est convivial, c’est tout simplement beau et simple, je répète: un petit bout de bonheur.
Bande Annonce L’Âge de Glace 4 : la Dérive des Continents
- Quatrième opus drôle, tendre et amusant pour petits et grands
- Histoires parallèles entre deux groupes de personnages déjantés
- Famille qu'on adore depuis longtemps, un petit bout de bonheur à l'état brut